jeudi 31 juillet 2008

Après de Claire Tristram

Dans un motel, quelque part en Californie, un homme et une femme qui ne se connaissent pas vont passer vingt-quatre heures ensemble. Entre ces deux êtres, la rencontre est abrupte, malaisée. Il s'attendait à une aventure romantique et sensuelle, elle est froide et distante. Il se sent grossier et maladroit. Elle le déconcerte par ses exigences et ses revirements. Et dans ce face-à-face violent, s'opère un curieux échange sans partage qui vise, malgré tout, une improbable catharsis. Avec une puissance d'évocation à la Marguerite Duras et des images provocantes dignes du Dernier Tango à Paris, ce huis-clos érotique, intense et douloureux fut un véritable choc à sa sortie aux Etats-Unis. D'une plume sobre et incisive, Claire Tristram transforme cette relation à la fois brûlante, ambigue, traversée par la haine de soi et flirtant dangereusement avec la violence, en une réussite littéraire éblouissante.

Jusqu'à la fin du bouquin, j'ai pensé que l'héroine faisait un rêve. L'histoire commence elle est là, à l'hôtel et elle l'attends. Lui, il est en retard, panne d'essence, et elle pendant qu'elle attends, son psy, lui a demandé d'écrire tous les petits souvenirs qu'elle a eu avec son mari, on apprends qu'il est mort.
Lui, marié, père de 2 filles, il aime sa femme. Quand elle lui a fait des avances c'est par curiosité et surtout très flatté, qu'il a accepté parce que rendu à son âge il ne croyait plus que ça lui arriverait.
Et pour savoir le reste, vous devrez lire le livre, je ne vous en dit pas plus.

250 pages, livre qui se lit dans une journée, pluvieuse, comme celle d'aujourd'hui.
J'ai aimé, je vous le suggère 7/10

La Tourneuse de page

Vittorio Fiorucci 1932-2008



Vous reconnaissez ce logo, cette pub, et surtout ça vous rappelle une phrase célèbre? Vittorio Fiorucci était aussi un affichiste très célèbre ici au Québec.
Je vous donne un lien ou vous trouverez des affiches de films Québecois très connues.

http://culturefrancophone.ca/teteatete/22_vfiorucci/
Bon Voyage Monsieur Vittorio!
La Tourneuse de page

mercredi 30 juillet 2008

Vamp de Christian Mistral

Quel bouquin!!! Une chronique urbaine? Oui! Qui aurait pu se raconter dans n'importe quelle ville du Québec, mais l'auteur était de Montréal. Un poème sur la colère? Les hormones d'un adolescent qui devient un homme? L'histoire d'une peine d'amour? J'aurais voulu être allé au cegep ou à l'Université dans un cours de littérature pour analyser ce livre.
Vamp, dans le dictionnaire c'est une femme fatale. Malheureusement, le héros de ce bouquin ne nous montre pas ses côtés homme fatal, (peut-être l'était-il à sa façon, puisque dans son entourage on enviait son mode de vie, sa façon de penser et d'être) mais plutôt tout ses mauvais jours, toutes ses colères, ses désespoirs, toutes ses haines, et tout le vide qu'il avait en lui:

Mes souvenirs se mêlent, ma mémoire s'effiloche et je ne sais jamais si je me remémore la réalité ou le rêve; les événements de ma troisième année sont plus frais à mon esprit que ceux d'hier soir. L'impalpable Rien d'épouvante impose sa viduité suffocante et je me triture, me fouille et me retourne comme une peau de chat mort pour retrouver le fil doré qui conduit d'un Rien à l'autre. Je ne possédais rien. Je ne désirais rien. Je ne savais rien, je ne voulais rien savoir et je ne faisais rien, rien que lire et écrire et regarder les autres vivre en me doublant sur l'autoroute. J'étais aussi libre qu'on peut l'être. Je stockais la vie des autres à laquelle adhéraient des parcelles de la mienne, j'accumulais du matériel en vue de la grande oeuvre future, et cela dans la plus répugnante des passivités.

Toutes ses souleries, toutes ses baises, Mistral est un fameux bambochard (personne qui aime le plaisir). Avec lui dans ce bouquin, un groupe d'amis, comme co-locataires, et heureusement, parce que probablement ce sont eux qui l'ont sauvés. Et il nous parle de Fantasio et blue jean on ne sais pas grand chose de ces deux personnages, mais il les apprécient pour ce qu'ils sont, parce qu'ils sont comme lui, ils ont des rêves, et des grands rêves, et qu'ils aiment le plaisir.
Ce bouquin c'est le début d'une histoire, il faudra que je lise les livres suivants, parce que Mistral a voulu avec Vamp nous raconter un moment de sa vie lorsqu'il avait 20 ans, et je crois même qu'il y avait un livre avant, parce qu'il me manque des détails d'avant ses 20 ans.

J'ai beaucoup aimé, même si parfois ça m'agaçait, mais je me disais qu'à 20 ans qui n'avait pas ressentit comme Mistral ce grand vide, toute la haine envers tout ce qui nous entourait, et sans savoir pourquoi au juste on haissait tant.
Ce que j'aime de Mistral, c'est son vocabulaire et son style élaboré, il écrit des mots que oui j'ai cherché dans le dictionnaire.

J'ai mis le lien de son blog dans l'intro (en cliquant directement sur mon titre de l'intro: Vamp de Christian Mistral vous serez dirigé sur son blogue), vous pouvez le lire sur internet, mais ne vous fiez pas aux commentaires, puisqu'ils sont de quelqu'un qui a volé sa page web, malheureusement pour nous. Et dans les liens qu'il nous offrent il dit qu'il ne blogue plus depuis qu'il est en couple. Alors trop tard je me suis rendu compte de ça, mais son blog est très intéressant, on y retrouve même des chansons qu'il a donné à des interprètes québecois et on peut les écouter, il y a aussi des entrevues radio et télé c'est très intéressant.

Peut-être un jour pourrons nous lui poser les questions sans réponses qu'il nous a laissé. Puisque que c'est un écrivain québecois, de notre patelin, pourquoi pas, rêvons!


En attendant je vous suggère son livre
Je donne un 6.5/10


La Tourneuse de Page

samedi 26 juillet 2008

Vamp de Christian Mistral - Un Extrait

Si vous êtes lecteurs-lectrices de mon blogue, vous avez remarqué que j'ajoute presque toujours des extraits des livres que je lis. Pourquoi? Je trouve que c'est dans la description, d'un sujet, d'un objet, d'un paysage, d'un personnage, d'une personne et parfois une banalité (la façon de présenter), que l'on apprécie et que nous devenons des inconditionnels d'un auteur, et je pourrais même dire d'un chanteur, d'un poète, etc, etc.

Alors, cette semaine quand j'ai commencé à lire Vamp, dès la première page, la description de Montréal, j'en suis encore bouche bée! Alors je partage avec vous cet extrait poétique et un peu cru de Montréal (que j'ai adoré):

J'aimais Montréal, j'en étais fou. Je la baisais insolemment sur toutes ses bouches de métro; nous étions des dizaines de milliers à imprégner ses entrailles d'une aube à l'autre et la belle en vrombissait de plaisir. Elle n'était pas de ces intouchables hautaines et froides. Elle était souple, nerveuse et douce, invitant les masses à disposer d'elle. Je la foulais aux pieds avec le souverain mépris, la passion bestiale des amants mytiques. Il fallait la sentir frissonner sous le balai venteux de l'hiver ou suer à lourdes gouttes d'averse chaude en été, se farder les joues de pourpre et de safran l'automne et engraisser insouciamment dès l'orée du printemps, pour vraiment se pénétrer du charme ravageur de Montréal. A comparer à Québec, on y courait dans les rues; auprès de New York, on s'y traînait à genoux. Elle avait son rythme respiratoire unique et traversait la vie au petit trot, comme une fière jument jeune mais sage. Ses bras humides des eaux fluviales formaient l'arche hospitalière de verre et d'acier à l'ombre desquels poussaient des talus de bicoques, elle n'était ni grande ni petite, ni humble ni majestueuse; elle ne faisait qu'embellir comme une jolie jeune fille saine et robuste lâchée dans la campagne. Le monde entier la connaissait, elle appartenait à l'univers des cités adultes et y tenait son rang avec dignité. On y traitait de grosses affaires, et de petites, très propres ou très sales ou entre deux teintes, des mégaprojets aux combines louches; on y brassait de l'argent et la consommation, ce nerf des villes, y était un art de vivre. Maîtresse peu exigeante qui s'offrait à nos vices. Mère chaude et rassurante, que nous quittions pour y mieux revenir. Formidable pôle d'attraction ou, de tous les coins et recoins du pays, nous étions venus nous agglutiner, nous fondre dans l'anonymat électrique le temps de trouver comment conquérir, qui la fortune et la gloire, qui le simple et lointain bonheur de vivre.


La Tourneuse de page

jeudi 24 juillet 2008

Mes prochaines lectures






















Comme je suis curieuse, et, que sur le net, on lit pas mal de choses et pas toujours positives, je vais me faire une idée par moi-même de certains livres. Et comme toujours je serai franche.
La Tourneuse de page

mercredi 23 juillet 2008

La nuit des abîmes de Juris Jurjevics


La Station scientifique Trudeau s'apprête à entrer dans la nuit arctique lorsqu'un sous-marin russe vient y chercher un savant décédé ... et disparaît. Après son départ, trois autres chercheurs sont retrouvés morts dans la station et l'épidémie s'étend. Appelée à l'aide pour la conjurer, le Dr Jessica Hanley est vite désemparée malgré l'énergie qu'elle déploie pour trouver l'origine du mal. Pendant ce temps, l'amiral Rudenko envoie, mais trop tard, un deuxième sous-marin pour sauver l'équipage du premier; tous les marins sont morts. Comment faire pour que personne ne découvre le mystère terrifiant qui menace toute la banquise?
Un vrai thrillers! Un livre d'été, qu'on ne veut pas arrêter de lire.
Deux recherchistes de la Station, en faisant des recherches, découvrent qu'un sous-marin se cache sous un plan d'eau, que tout l'équipage d'un autre sous-marin est mort. Un animal, une algue, un virus, un microbe, toutes ces questions reviennent dans la pensée de Jessie, spécialiste appelée au secours de la Station.
Le corps de Dee était plié en arrière, presque en deux, ses chevilles touchaient pratiquement ses épaules, et la terreur - ou la prise de conscience de ce qui se passait - lui avait déformé les traits. De même que la douleur. Une douleur inimaginable. Elle avait la bouche grande ouverte, les muscles rigidifiés, le corps tordu à un point paroxystique, les yeux ... Jessie distinguait à peine ce qu'il en restait.
Je ne vous en dit pas plus, faut le lire, et vous le trouverez facilement à la bibliothèque puisque c'est un livre qui est sorti 2007.
Très bon bouquin, que je vous suggère
Je donne un 7/10
La Tourneuse de page

dimanche 20 juillet 2008

Variation sur un autre thème: La musique

Parce que j'aime lire, j'aime aussi écrire.
Parce que les humains ont cinq sens,
J'ai aussi développé mon sens de l'ouie,
J'adore la musique!
Et c'est parce que je sais pas comment installer un mini baladeur dans mon blogue, que vous ne connaissez pas encore mes goûts musicaux.

Devinez de qui je vais vous parler aujourd'hui? Quelle question, vais-je vous poser??lol???

Alors, je me lance:

Si vous étiez à Québec aujourd'hui, quel spectacle iriez-vous voir?







C'est sûr que j'irais voir Paul Mc Cartney, c'est peut-être la dernière fois qu'il donnera un spectacle au Québec, de son et de notre vivant.
Céline Dion, c'est plus facile de la voir au Québec, ce n'est pas le dernier show qu'elle donnera ici ...

P.S.: Je vous ai mis cette vidéo de Céline, parce que selon moi, et c'est mon opinion perso, c'était à ce moment-là qu'elle était à son meilleure. Elle avait l'air de son âge, habillée pour son âge pas de grande robe à falbalas, les cheveux courts qui lui allaient très bien et des chansons magnifiques de Goldman faites pour elle. Je suis pas une grande fan de Céline, je suis quand même fière d'elle comme québecoise, mais le seul CD que j'ai d'elle c'est D'EUX, son meilleur selon moi.
La Tourneuse de page

jeudi 17 juillet 2008

Fatalis poème de Christian Mistral

J'ai trouvé ce tout petit bouquin à la bibliothèque, (et comme je tiens toujours mes promesses) j'ai eu une surprise quand je l'ai ouvert à la maison, c'était un poème, quatre à cinq lignes par page, je n'avais jamais lu jusqu'à ce jour un livre comme celui-là, ni de Christian Mistral, je me tape sur les doigts.

C'est un poème,
C'est l'histoire d'un homme,
C'est sa quête d'une femme,
C'est un poème sensuel,
C'est un poème colérique,
C'est un poème ou les mots font honneur
à la langue française
C'est un homme qui fait l'amour à une femme
Avec les mots, nous les voyons faire devant nos yeux en lisant,
Comme dans un film, mais c'est un poème.

Voilà c'est mon commentaire, si vous tombez sur
ce livre (76 pages), ne vous privez pas de le lire. Christian Mistral est vraiment un grand écrivain de mots. Des mots que l'on écrit jamais, il a vraiment un style, oui c'est ça un style qui fait honneur à la langue française.
Je vais lire d'autres livres de Christian Mistral.

La Tourneuse de page

mercredi 16 juillet 2008

Un extrait de La nuit des abîmes - Juris Jurjevics

J'adore ces bouquins qui nous décrivent des endroits qu'on ne visitera jamais.

Un site aléoute: l'endroit le plus au nord du Canada arctique ou les hommes ont vécu. C'est la raison pour laquelle les scientifiques sont venus ici, au début. Une sacrée trouvaille. Pour loger tous ceux qui travaillaient sur ces fouilles, une tranchée de quatre ou cinq mètres de profondeur, d'une quinzaine de large et d'une cinquantaine de long a été creusée dans la neige. D'autres allées, plus courtes, ont été creusées perpendiculairement à la grande. Toutes ont été coiffées d'un toit de tôle ondulée recouvert de neige. Le toit ressort un peu, c'est pour ca qu'on peut le voir du ciel. Les allées contiennent des huttes Quonset pour les habitations, les laboratoires et le stockage. L'une d'elles abrite la centrale électrique: des générateurs a essence. Dans une autre, il y avait le réfectoire. Quoi d'autre? Une infirmerie. Une vraie petite ville sous la neige. Nous vivions comme des taupes.

lundi 14 juillet 2008

Une nouvelle, un conte


Un bref instant de romantisme de Miranda July.
Dans un monde idéal, nous aurions été orphelines. Nous avions l'impression d'être orphelines et de mériter la pitié
dont bénéficient les orphelins, mais le problème un peu gênant c'est que nous avions des parents. Moi, j'en avais meme deux. Chaque nouvelle de ce recueil nous plonge dans l'univers décalé, poignant et drôle de Miranda July. Avec une redoutable simplicité, elle nous entraîne dans les mystères trompeurs de l'intimité, la peine de devoir vivre sur cette planète, jour après jour, seul(e) et les possibilités éblouissantes de chaque seconde.


Premièrement, après avoir lu Gabriel Marquez, je crois pas que le bouquin de Miranda July, soit un bouquin de nouvelles, je crois plutôt qu'en ¨July¨ elle a eu besoin d'argent 8-), qu'elle a pris son journal perso, qu'elle a pris quelques petits événements de sa vie et qu'elle a publiée.J'ai été pas mal déçue, un titre par exemple qu'on retrouve dans le livre, j'ai embrassé la porte, hum, elle avait vraiment besoin d'$. lolll

Donc, je vous le suggère pas, j'ai remis le livre dans mon sac de retour sans le terminer.

Douze contes vagabonds, Gabriel Garcia Marquez
A l'image des histoires qui les animent, ces vagabonds sont d'étranges pélerins, tous latino-américains, projetés aux quatre coins d'une Europe insolite, en des aventures ou la magie et l'humour sont articulés par ce que Gabriel Marquez considère comme essentiel à la construction de cet ouvrage: la perspective du temps. Je crois avoir ainsi réussi le livre de contes qui se rapproche le plus de celui que j'ai toujours voulu écrire, nous dit l'auteur.


En partant, la première histoire ma charmée: Bon voyage Monsieur le Président,vraiment magnifique histoire! Je sais pas de quel président il parlait, je suis pas assez politiser, pour les autres pays. Le savez-vous, si vous avez lu ce livre????

C'est vrai, qu'une nouvelle, c'est léger, on y va pas trop en profondeur, on ne fait qu'effleurer l'histoire, les personnages, je trouve que ça nous laisse sur notre appétit mais si on aime on relit parce que c'est court. J'avais lu dans un blog, qu'une nouvelle, c'était le début de quelque chose, d'un film peut-être, le début d'un livre, c'est vrai, selon moi, mais écrit par Gabriel Garcia Marquez c'est un chef-d'oeuvre.


J'ai beaucoup aimé, je donne 7/10

Je vous suggère grandement ce bouquin.


La Tourneuse de page

Une pensée

Un mot, c'est comme un moineau.
Une fois libéré, on ne peut plus l'attraper ...


Paroles du Général Valentin Yevstigneyev,
Directeur adj. pour le contrôle des armes
nucléaires, biologiques et chimiques de l'armée
russe, Moscou

Comme je n'étais pas chez moi, j'ai seulement écrit cette petite pensée qui est l'intro du livre: La nuit des abîmes de Juris Jurjevics. C'est le prochain bouquin que je vais lire.
Je vais faire la recherche pour savoir de qui sont ces paroles.

La tourneuse de page

jeudi 3 juillet 2008

Les Secrets de Norah, récit autobiographique

Norah Shariff a tenu un rôle essentiel dans l'histoire déchirante du Voile de la peur. L'aînée de cette famille algérienne accepte pour la première fois de livrer les secrets qui l'étouffent depuis vingt-cinq ans et qui l'empêchent de grandir. Victime d'un père dégénéré et d'une guerre civile sanglante, elle frôle la mort au moins à trois reprises et se donne, très jeune, la mission de protéger d'abord sa mère, Samia, et tout ses proches.

Révoltée du sort insupportable réservé aux femmes dans certaines régions du monde, elle fait partie de cette nouvelle génération qui accepte mal de se laisser écraser et humilier sans réagir.
Un tempérament très fort, une audace à couper le souffle et un pays d'adoption en paix l'aideront à s'affranchir et à découvrir que le véritable avenir, pour elle, commence, aujourd'hui.




Ce que j'ai aimé de ce livre, c'est que l'histoire racontée avec les yeux d'une enfant, une enfant de 8 ans jusqu'à son arrivée à vingt ans ici au Canada.
L'histoire en gros, un père qui bat sa femme, qui viole sa fille, la famille du père qui contrôle tout (voler le premier fils de Samia pour l'élever en bon arabe), la guerre civile de l'algérie et ses dangers, jusqu'au jour ou Samia décide qu'il faut partir de là. Tout l'aventure pour arriver au Canada.
Voilà, c'est tout pour mon commentaire, on a vu çà, à la télé, et je lisais ce livre en pensant au film, jamais sans ma fille.


Je donne 5/10, un bouquin ordinaire
Je vous le suggère


La Tourneuse de page